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13 avril 2020
Comment aider chaque établissement scolaire à se doter d’une webradio ? Dans l’académie de Rennes, un tel projet est actuellement en cours de déploiement à travers une plateforme de Wikiradio®. D’ores et déjà 4 collèges et 7 lycées participent à l’expérimentation en y diffusant régulièrement des émissions soigneusement conçues, préparées et réalisées par les élèves. Didier Perret, professeur de SVT, co-responsable pédagogique du Living Lab Interactik de l’académie de Rennes, éclaire ici le fonctionnement, les intérêts et perspectives de ce travail mené en partenariat avec la société Saooti et sous le regard de la recherche universitaire. Collaboration entre élèves, travail d’équipes d’enseignant.es, dynamique partagée entre établissements divers, partenariats avec le monde extérieur à l’Ecole... ce qui se joue à travers cette wikiradio académique comme avec les coopératives pédagogiques numériques qui contribuent à la porter, c’est l’ambition de construire un territoire apprenant …
> Qu’est-ce ce qu’est la Wikiradio® ?
Bonjour, la Wikiradio® est un concept de plateforme créé par la société Saooti à partir de leur interface de webradio professionnelle. La Wikiradio® est un développement spécifique pour adresser aux établissements scolaires qui seraient intéressés par un projet de webradio collaborative, ensemble de services en ligne permettant non seulement la production d’émissions de radio mais aussi leur diffusion, la gestion de la grille de programme, la gestion d’appels téléphoniques pour intégrer des participants à distance et les interactions.
> Quelle est l’historique de ce projet dans l’académie de Rennes ?
Depuis la rentrée 2018, chaque collège dispose désormais de son propre canal radio que l’on retrouve sur la page https://radioeducation.org et sept lycées ont rejoint le projet d’expérimentation grâce à un financement de la région Bretagne.
Le canal radio initial « Wikiradio® Toutatice » est désormais devenu « Wikiradio® Interactik » et permet aux quatre coopératives pédagogiques numériques de l’académie de Rennes de proposer des formations et d’accompagner des établissements du premier et du second degré qui souhaiteraient publier leurs productions réalisées en classe par les élèves.
Ces établissements utilisent, par exemple, les ressources de prêt de Canopé pour se doter sur un temps de quelques semaines du matériel nécessaire (micros, table de mixage). Les animateurs des coopératives et du réseau Canopé sont disponibles pour les accompagner dans la mise en place de leur projet mais aussi pour mettre en ligne leurs productions sur le canal « Wikiradio® Interactik ».
> Plusieurs établissements produisent d’ores et déjà des émissions : pouvez-vous donner des exemples de ces productions ?
Certains lycées ont déjà une expérience sérieuse de la production d’émission, comme le lycée Jean Moulin à Chateaulin qui a déjà produit 4500 podcasts ou l’équipe du lycée Vauban à Brest qui travaille déjà depuis plusieurs années sur leur projet des webtrotteurs. L’intégration à la plateforme radioeducation.org va leur permettre de bénéficier des fonctionnalités de la Wikiradio® pour développer leurs usages en webradio.
> Comment, au sein de l’établissement, s’organise le travail de préparation et de réalisation de l’émission ?
> En quoi consiste le travail durant ces 4 semaines ?
Les 4 semaines d’un projet peuvent se découper ainsi. Une semaine de travail sur l’organisation de l’émission, les groupes, les rôles au sein de chaque groupe, le travail du sujet et du type d’émission. Une semaine d’écriture et d’entrainement oral. Une semaine de production en studio (enregistrements) et de collecte de sons (interview, micro-trottoir, captation de cartes postales sonores, …). Une semaine (optionnelle) de post-production si l’émission n’était pas réalisée en direct et/ou nécessite un montage particulier avant diffusion.
L’ensemble du travail peut être réalisé avec des petits groupes sur des temps d’ateliers ou de clubs mais aussi en cours, avec des classes entières, en partageant le travail sur différents groupes. Bien entendu, un projet impliquant plusieurs enseignants, avec le professeur documentaliste ou le CPE permettra de gérer plus facilement les différentes étapes d’un épisode, voire de plusieurs épisodes pour une émission.
> Quelles sont les éventuelles difficultés à résoudre ?
La difficulté, c’est d’alimenter la grille des programmes sur le long terme. Un projet court, sur quelques semaines en publiant les productions sur le canal « Wikiradio® Interactik » mutualisé est à la hauteur de petites équipes, voire d’enseignant•es seul•es. Si vous souhaitez animer un canal radio pour votre établissement, avec une programmation riche et continue, cela va nécessiter un projet impliquant obligatoirement plus de personnes.
> Est-ce que tous les élèves peuvent contribuer au travail ?
Tous les élèves peuvent participer à un épisode d’une émission de radio. Chacun apporte à l’équipe ses compétences, ses qualités. Même si vous avez un élève dont les parents refusent la diffusion de la voix (car il faut une autorisation de diffusion pour les élèves qu’ils soient mineurs ou majeurs, à faire signer avant toute émission), il peut toujours participer à l’écriture des textes, à la mise en place du conducteur et pendant l’enregistrement, il peut être à la console pour prendre le rôle de technicien du son.
> Quels profits les élèves vous semblent-ils tirer d’un tel travail de création d’émissions de radio ?
Enfin un travail sur les habilités sociales, les « soft-skills » avec le travail de groupe, la nécessité de coopérer pour construire le projet, les textes, se répartir les rôles. Il y a aussi, tout un travail possible sur les compétences d’écoute, sur l’attention avec le rôle des feedbacks, qu’ils soient organisés au sein de la classe en direct ou avec l’utilisation des icônes et des espaces de commentaires disponibles sur l’interface de la webradio. Engager ses élèves sur un projet de webradio va les emmener bien plus loin que les seuls savoirs disciplinaires et c’est ça qui en fait un support éducatif très riche.
> De quel matériel et de quelles compétences disposent les établissements pour mener le projet à bien ?
> Comment s’opère la diffusion des émissions ?
Sur le canal « Wikiradio® Interactik », nous pouvons aussi diffuser des émissions qui seraient réalisées en établissement, hors projets expérimentaux : il suffit de prendre contact avec l’animateur d'une coopérative et un programme peut être créé pour cet établissement permettant de charger les émissions enregistrées en MP3. Elles sont ensuite diffusées selon un programme établi en concertation avec l’équipe pédagogique de l’école, du collège ou du lycée. C’est ce que nous avons fait par exemple pour l’école Per Jakez Elias de La Mézière l’an passé.
> Le projet est mené en lien avec la recherche : à quels aspects du projet s’intéressent plus particulièrement les chercheur.ses ? selon quel protocole ? avec quels premiers résultats éventuels ?
Si je reprends les grandes lignes, les élèves engagés dans l’expérimentation au sein des 6 collèges vont devoir réaliser plusieurs épisodes d’une émission en petits groupes, la thématique abordée sera le Parcours avenir du fait de sa transversalité. Les élèves auront à travailler les contenus mais aussi les émotions qu’ils souhaitent faire passer car l’expression orale doit être bien plus détaillée, bien plus fine dans une émission de radio où « tout » doit passer par la voix. Le format sera au choix des groupes d’élèves. L’équipe universitaire a travaillé avec les enseignant.es sur un document d’accompagnement qui sera commun à chaque classe.
Une fois les émissions diffusées, il y aura aussi un travail d’écoute et de commentaire de chacune des émissions à l’aide de l’espace dédié et des émoticônes qui ont été spécialement développés par l’équipe après un an de travail et de tests à partir des travaux de Paul Ekman. Au nombre de 7, elles représentent les émotions primaires (joie, tristesse, peur, dégout, colère, surprise et l’émotion neutre) qui vont permettre de transmettre la perception de l’émotion que chaque élève aura de l’émission réalisée. L’une des hypothèses est que ce feedback peut avoir un impact direct sur l’engagement des élèves et indirectement sur les apprentissages.
> Quelles sont vous semblent les perspectives de développement de la Wikiradio ?
Il y a de nouveaux projets en cours d’élaboration, des évolutions de la plateforme aussi. RadioEducation.org devrait pouvoir bénéficier d’ici quelques mois d’une intégration au GAR, le guichet d’accès aux ressources, ce qui facilitera son intégration aux ENT académiques et permettra une gestion simplifiée des comptes élèves.
Une évolution majeure serait une intégration comme « brique » de l’ENT académique Toutatice et que cet outil soit disponible pour tous les établissements. Il y a évidemment des contraintes financières à prendre en compte qui dépendront beaucoup du modèle économique dont l’élaboration est un des résultats attendus du projet.
Dans l’immédiat, il ne faut pas hésiter à contacter la coopérative pédagogique numérique la plus proche si on enseigne en Bretagne ou à m’envoyer un mail.
Voir en ligne : le portail de la wikiradio
Article préalablement publié sur le site Bretagne Educative
- COOPÉRATIVE 29
- PORTRAIT
5 février 2020
Apprentie à la coopérative pédagogique numérique du Finistère, Nelly Dubois accompagne les enseignants sur les questions autour du numérique éducatif. En parallèle, elle étudie en Master 2 sciences de l’éducation, parcours technologies pour l’éducation et la formation. Elle souhaite diriger ses travaux de mémoire sur les effets voulus et perçus du numérique en classe.
Bonjour Nelly est-ce que tu peux te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Nelly Dubois, étudiante de 23 ans en master 2 TEF à Rennes 2 et apprentie trois semaines par mois depuis un an à la Coopérative pédagogique numérique du Finistère.
En règle générale ce qui me motive dans mon travail, c’est d’être utile à la structure qui m’accueille, d’accompagner tout en apprenant, mais surtout de faire des choses qui aient du sens et me permettent d’élever mes compétences. Plus précisément, ce qui me plait c’est de faire de la médiation, d’accompagner à la transition tranquillement sans pression, de déculpabiliser les usagers, les professionnels.
En quoi consiste ton rôle dans la coopérative ?
Je suis chargé de coanimer la coopérative avec Baptiste, Gaëlle et Marc, le but ultime étant de mettre en place une communauté apprenante autour de la pédagogie et du numérique éducatif. Mon objectif est de capitaliser les apports théoriques du master pour les mobiliser de manière réflexive sur le terrain.
De manière opérationnelle je suis amenée à travailler en réseau avec les autres coopératives et à organiser des ateliers (web radio, fond vert escape game etc...), des animations des formations autour d’outils numériques, mais en plaçant la pédagogie au cœur de la démarche. Je développe et mobilise des compétences en ingénierie de projet, ingénierie de formation, ingénierie pédagogique, dans une approche centrée sur les médiations techniques et sociales. Une de mes principales missions est de comprendre et formaliser les besoins de formations des usagers professionnels de l’éducation.
Une autre de mes missions est ma mission d’étudiante. Jongler entre les attentes scientifiques, théoriques et réflexives de mon master et mon travail au sein de la coopérative nécessite des remises en question permanentes. Celles-ci me permettent de devenir une professionnelle réfléchie. Bien que mon sujet de mémoire ne soit pas encore fixé, j’ai été interpellée par les enseignants de langues, qui, au vu de mon expérience, sont ceux qui viennent le plus spontanément à la coopérative. Je veux comprendre pourquoi ces enseignants s’approprient le numérique et comment cela se vit en situation d’apprentissage. Comment le numérique décloisonne, comment il peut-être un levier, mais aussi un frein aux apprentissages des langues étrangères.
Tu peux nous parler un peu plus en détail de ton expérience à la coopérative ?
L’année dernière c’était surtout du tâtonnement, la découverte de l’environnement et de son fonctionnement. J’ai pu mettre en place des ateliers, participer à des réunions, des séminaires et surtout beaucoup apprendre du réseau. On n’est pas là pour inventer l’eau chaude. Donc l’objectif cette année c’est toujours d’accompagner à la transition numérique, avec quelques gros projets en parallèle, dont l’analyse des besoins de formation dans le Finistère et la construction d’un dispositif d’évaluation, de formation et de certification. Nous avons également comme projet de développer les escales de la coopérative, se déplacer dans les établissements pour être au plus près de la réalité du terrain et des besoins réels. D’autre part il y a beaucoup d’initiatives autour du numérique éducatif et mon but est de les valoriser, en commençant par celles des établissements pilotes de la coopérative pour ensuite étendre vers tout le Finistère.
Tu peux nous raconter un des moments forts de ta première année à la coopérative ?
Un des exemples dont je suis fière est l’organisation d’un atelier autour de l’escape Game animé par Mélanie Veyret au centre social de Kerourien. Il a regroupé, enseignants, enseignants documentalistes, ingénieurs pédagogiques de l’éducation nationale, de l’armée, du lycée naval, une équipe d’animateurs BAFA dans une maison de quartier. C’est un bel exemple de décloisonnement, tu déconstruis des imaginaires. Vu qu’il y a un objectif commun qui est partagé et ben ça marche quoi ! J’ai ressenti un plaisir partagé, les gens étaient contents d’être là et de vivre cette expérience !
Si tu devais partir, quels conseils tu donnerais à ton/ta remplaçante ?
La première difficulté est de comprendre l’écosystème, de jongler entre la Coopérative et la l’université. De se sentir légitime dans son travail. L’important c’est de formaliser tout ce qu’on fait pour que cela soit lisible et compréhensible par les autres.
Ce qui est facilitant c’est que c’est d’un réseau qui fonctionne, ça roule, il y a plein de choses qui marche en Bretagne. On a des exemples à suivre, des méthodes déjà en place. Il ne faut pas avoir peur de se lancer, proposer des choses.
Quelles sont tes principales attentes liées à ton travail ?
Ça serait de déculpabiliser toutes les personnes qui se sentent dépassées par le numérique, de questionner le sens des usages. Et de suivre et m’inspirer de toutes les initiatives qui fleurissent sur le territoire breton. En sommes que chacun puisse profiter des compétences et expériences de tous : mettre en réseau.
Auteur : Baptiste Creux, Source : Bretagne Educative
- ÉVÉNEMENTS
- COOPÉRATIVE 35
4 février 2020
Destinée à tous les publics, l’exposition Data Detox explique de manière simple comment et pourquoi il est primordial de reprendre le contrôle sur vos données personnelles. Comme toute cure qui se respecte, vous commencez par un bilan de santé de votre identité numérique. Comptes oubliés ou perdus sur les réseaux sociaux, navigateurs infestés d’espions traqueurs : un grand ménage s’impose. Vous prendrez également conscience qu’Internet a été totalement centralisé par de grands groupes commerciaux qui ont le monopole des données y circulant : vos données personnelles !
Exposition conçue par la bibliothèque de l’EPFL, à découvrir dans le cadre du temps fort sur les libertés numériques à la Coopérative pédagogique numérique du Lycée de Bréquiny.
L'exposition pourra ensuite être empruntée et montrée dans les établissements intéressés.
Informations pratiques :
- Organisé par : Coopérative pédagogique numérique d’Ille-et-Vilaine
- Lieu : Lycée Bréquigny de Rennes, 7 avenue Georges Graff – Bâtiment B, Salle B03
- Date : du 3 au 14 février
- Début : 8:00
- Fin : 18:00
- Tarification : Gratuit
Source : Bretagne Educative
- PARTENARIAT
- ÉVÉNEMENTS
- COOPÉRATIVE 35
3 février 2020
Comment conquérir un pouvoir d’agir dans notre environnement numérique ? Comment reconquérir en particulier une maitrise de ses traces et de ses données ? Les coopératives pédagogiques mumériques de l’académie de Rennes participent activement à la 3ème édition du Festival des Libertés numériques. Livia Prigent, de la coopérative d'Ille-et-Vilaine, nous présente les animations organisées pour les enseignant.es, les enjeux de cette opération, le travail qu’elle mène sur le sujet ... Des réflexions et des propositions susceptibles d’aider à fortifier chez les élèves eux-mêmes une indispensable citoyenneté numérique.
> Livia, pouvez- nous expliquer ce qu’est le « Festival des Libertés numériques » ?
> Pourquoi vous semble-t-il important de réfléchir et d’agir en 2020 sur cette notion de « libertés numériques » ?
> Pourquoi vous semble-t-il important mener cette réflexion et cette action dans le domaine de l’éducation ?
Pour toutes ces raisons, il nous semblait important de nous associer au FDLN pour proposer des animations à la Ccoopérative pédagogique numérique. L’idée est aussi de lancer une dynamique, qui je l’espère, perdurera à l’issue du festival ou fera naître des idées, des projets.
> La coopérative pédagogique numérique d’Ille-et-Vilaine organise différents événements dans le cadre de ce festival : pouvez-vous nous les présenter ?
Pour cette 3ème édition du Festival, la coopérative a souhaité s’impliquer sur la question des libertés en proposant une série d’animations qui soit les plus variées possibles. L’objectif n’est pas de dire « ce que vous faites c’est bien ou pas bien » mais de sensibiliser notre public, en quelques sortes de donner des clés de lecture de ces environnements pour agir en conscience ! Ainsi, sur toute la durée du Festival, il y aura l’exposition Data Detox qui est une expo qui a été créée par la bibliothèque suisse de l’EPFL. À côté de ça nous proposerons 7 ateliers (dont certains déclinés en plusieurs sessions) répartis sur les 2 semaines du Festival. Tous sont animés par des acteurs engagés et motivés !
- Le jeudi 6 février un atelier « cas d’usage » animé par Thierry Joffredo et Yannick Bré du pôle numérique pédagogique du Rectorat de Rennes. Il s’agira ici à partir d’un cas d’école réaliste, de découvrir et mettre en œuvre des services et ressources numériques protecteurs et respectueux des données personnelles des utilisateurs pour réaliser une activité pédagogique.
- Les 7 et 14 février (à raison de 2 sessions par date), l’escape game pédagogique « connais moi échappe toi » conçu par la DANE de Besançon. Cet atelier aura pour objectif de découvrir et identifier par la pratique les possibilités d’un escape game à travers la thématique de la protection des données personnelles et des traces numériques. Il sera animé par Alan Coughlin et Sophie Bernez le 07/02, enseignants en langues et Résentice ; et par Nelly Dubois et Baptiste Creux, 2 collègues apprentis à la CPN 29.
- Le 10 février c’est Lucie Le Guen, fabmanager pédagogique au sein de l’association MyHumanKit à Rennes qui viendra nous faire part de son expérience de l’usage du wiki en classe suite à des projets menés avec des collégiens.
- Toujours le 10 février, Laurent Rebuffie, enseignant au Lycée Bréquigny en Sciences de l’ingénieur et RRUPN animera un temps d’échanges sur ces fameuses données personnelles dont on parle tant mais qui restent un mystère pour beaucoup d’entre nous !
- Le 12 février (2 sessions) Philippe Bernier, enseignant de technologies, formateur Résentice et co-animateur de la coopérative 35 viendra nous partager son expérience de l’usage de la MoodleBox pour partager des fichiers ou accéder à des activités pédagogiques… et tout ça sans dépendre d’Internet !
- Le 13 février (2 sessions) sur le jeu pour accompagner vers des usages responsables du numérique. Il sera mené par mon binôme de la coop’ du Lycée, Gabriel Trouvé également apprenti et en master 2 TEF.
- Enfin le dernier qui sera davantage un retour d’expérience le 13 février en fin de journée : Grégoire qui est ingénieur en Cybersécurité viendra nous faire part des raisons qui l’ont poussé à "rompre" avec Google mais aussi nous présenter des alternatives.